Découverte du site rosenadine.com

Ayant fait, comme beaucoup d’entre vous je pense, une bonne partie de mes soldes sur Internet cette année, j’ai décidé de commander sur un site que je connais depuis longtemps de nom sans jamais y avoir acheté. Il s’agit de Rose&Nadine qui propose des cosmétiques naturels de marques souvent peu connues (vous y retrouverez notamment Omum et Figs And Rouge). Étant dans une période où je cherche à me mettre au bio, ou du moins au naturel, j’ai été très attirée par ce site où j’ai décidé de me prendre un combo gommage et masque ainsi qu’un crème de jour. D’autant plus que les frais de port sont offerts pendant les soldes !

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J’ai notamment jeté mon dévolu sur le Gel Naturel Gommage Visage & Corps Amande-Miel Hydratant (11,90 euros au lieu de 13) et le Masque Lumière Naturel Éclaircissant aux Plantes Amande & Safran (12,10 euros au lieu de 13,50) de Loren Kadi.

Et je dois dire que j’ai été très agréablement surprise de constater à quelle point ma commande à été rapidement traitée. J’ai commandé mes soins le 8 janvier vers 14h, le soir même le colis était préparé et le lendemain il était expédié ! L’expédition en 24h annoncée par le site est donc belle et bien respectée. J’ai pu recevoir ma commande le 11 janvier, soit seulement trois jours après l’avoir passée ! C’est un vrai record, surtout en temps de soldes De plus, tous les soins étaient très bien protégés par du SizzlePak et le tout emballé dans du papier de soie.

J’ai aussi énormément appréciée le service client qui répond lui aussi à la vitesse de l’éclair. Pour tout vous dire, j’avais commandé une crème de jour dont la composition indiquée sur le site était différente de celle reçue, à savoir la Crème au Basilic Sacré de la marque Mantra (15,60 euros au lieu de 19,60) qui contient du phénoxyéthanol. Composant que je cherche à supprimer de mes soins actuels. J’ai donc envoyé un mail le 12 janvier pour demander quelle composition était la bonne, informant que si le soin contenait effectivement du phénoxyéthanol je ne souhaitais pas le conserver. Le lendemain j’avais une réponse m’annonçant qu’il y avait effectivement une erreur en ma défaveur sur le site et que je recevrai sous peu une enveloppe pré-affranchie pour retourner le soin ainsi qu’un chèque pour me rembourser. Le tout reçu deux jours plus tard seulement avec en cadeau de dédommagement le Tote Bag « Proud To Be A Green Lady » de Rose & Nadine (5 euros en soldes ou offert pour les commandes de plus de 69 euros).

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Ainsi qu’un petit mot d’excuses écrit à la main ! J’ai trouvé l’attention tellement adorable et la réactivité du site tout simplement parfaite ! En une semaine mon soucis de crème était réglé et j’étais remboursée.

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Je vous reparlerai du masque et du gommage dans quelques temps, quand je les aurai bien testés. Mais vraiment, rien que pour le service client et les produits proposés, je ne peux que vous conseiller de commander sur ce site qui est l’un des plus sérieux que je connais. De plus, grâce au programme fidélité mis en place, vos achats vous rapportent des points échangeables contre des bons d’achats. A savoir qu’1 euro dépensé équivaut à 10 points et qu’à partir de 1500 points vous gagnez un bon d’achat de 5 euros.

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Rappel des petits bons plans : pendant les soldes la livraison est gratuite ! Et bénéficiez de 10 euros de réduction à partir de 45 euros d’achats pour votre première commande sur les cosmétiques non soldés avec le code « bienvenue ».

N’hésitez pas à me faire signe si vous voulez que je vous marraine sur le site !

Belle journée à vous tous !

Carnet Féminin

Année 2014 : l’année de la transition ?

« Et si je passais au bio ? Ou du moins au naturel ? »

Cette réflexion ne m’est pas venue comme ça, comme une illumination en me levant un matin, ni en cherchant une bonne résolution valable à tenir pour cette nouvelle année. Non, en fait, cela fait un bon moment que j’y songe, que je me renseigne sur les compositions des cosmétiques et des aliments industriels, sans jamais vraiment avoir eu envie et le cran de sauter le pas…

Pourtant, avant d’en arriver à une surconsommation qui paradoxalement me réjouit autant qu’elle m’étouffe (j’adore collectionner les palettes de fards et tester tout un tas de produits, c’est comme ça, je suis addict et très influençable par les packagings, odeurs, textures, nouveautés… je plaide totalement coupable !), j’avais une vision assez simple et réduite des cosmétiques. En fait, tout à commencer quand après une dizaine d’années avec une acné modérée insoignable et mon entrée à la fac, j’ai voulu trouver des solutions pou paraître plus à mon avantage et camoufler mes complexes, comprenant bien entendu crèmes traitantes en tout genre et surtout fonds de teint, correcteurs, poudres, etc.. Le tout bien consciencieusement empilé et consommé en grandes quantités sans jamais vraiment trouver mon bonheur. D’ailleurs, l’an dernier, j’ai eu à prendre un traitement assez fort qui m’a bien aidé mais hélas tout est rapidement revenu après son arrêt. Et quand ma dermato m’a parlé du Roaccutane comme dernière solution, j’ai cru qu’on me proposait enfin le Saint-Graal ! Et puis j’ai commencé à me renseigner sur la composition du fameux médicament et ses effets secondaires et là ce fut le drame : pas question pour moi de prendre un produit destiné à l’origine au traitement du cancer (et dont on a découvert par hasard qu’il avait une certaine efficacité sur l’acné) et surtout susceptible de me faire jeter par la fenêtre en me provoquant un bon gros coup de déprime.

J’ai été tellement catastrophée par les témoignages sur le Roaccutane que j’ai commencé à me dire qu’il n’était certainement pas si aberrant que cela que beaucoup de personnes fassent autant attention à la composition de leur alimentation, compléments alimentaires, médicaments ainsi que cosmétiques. Après tout, tout ce que l’on met sur sa peau finit aussi par passer plus ou moins dans notre sang, non ? En fait, si je n’étais pas arrivée en ville à l’âge de 18 ans, je n’aurai certainement jamais eu besoin d’en arriver là pour me poser cette question. J’ai en effet été élevée à la campagne où je mangeais les légumes bios du jardin, la viande élevée en plein air du paysan du coin, où la seule crème qui trônait dans la salle de bain était un pot de Nivea et où l’on se soignait le plus possible avec les simples ramassées dans le verger. Je n’ai jamais aimé les fast food et n’ai connu les produits industriels alimentaires qu’à l’âge de 9/10 à la cantine (un comble quand on y pense). Ce sont donc des choses qui font à l’heure actuelle toujours échos en moi mais que j’ai eu tendance à délaisser pendant mes études, découvrant des choses inconnues dont certaines sont devenues des addictions (cosmétiques, caféine,etc.).

Et puis, comme beaucoup de français, l’on m’a au fil des années découvert des allergies, de plus en plus, qui me font réfléchir à mon environnement de vie et à mes choix cosmétiques et alimentaires. Alors aujourd’hui je me dis : pourquoi ne pas essayer de faire ce qui me paraît le meilleur choix sur le long terme et surtout selon ce qui est sensé être le mieux et le plus sain pour moi ?

Loin de moi de vouloir devenir un « taliban » du biologique (les amateurs du Pr. Henri Joyeux noteront l’allusion), mais j’ai envie de prendre un peu plus soin de mon corps, surtout après une période où j’ai été assez malade (mais tout va à nouveau très bien, je vous rassure). J’ai envie de me bichonner en adéquation avec mes convictions actuelles qui sont en train d’évoluer et de s’affirmer mais je ne renonce bien entendu pas à finir mes stocks de produits à la composition toute moisie, tout comme je ne m’interdis pas d’acheter du « conventionnel » si l’envie m’en prend. Je pense surtout au maquillage, j’ai déjà assez de difficultés à trouver une teinte de fond de teint qui soit assez clair pour ma carnation, maintenant que j’ai trouvé je ne me vois pas tester à nouveau des milliards de produits naturels pour retomber dans la même galère. De plus, les après-shampoings sans silicones sont une véritable horreur sur mes cheveux très longs et décolorés. Et si par le plus grand des hasards une crème peu « safe » pouvait me faire passer mon acné, je l’achèterai et l’utiliserai volontiers. Bien que je pense vraiment qu’une vie plus saine ne peut qu’améliorer les choses, le chimique n’ayant que trop peu fait ses preuves jusqu’à présent.

Et vous qui me lisez en ce moment, avez-vous aussi entamé une transition vers les produits et soins bios et naturels ? Qu’est-ce qui a été le plus difficile pour vous ? Qu’est-ce qui vous a aidé ? Et surtout par quoi me conseillez-vous de commencer pour l’aborder avec douceur et surtout me permettre de la tenir ?

Carnet Féminin

Le drame du magazine féminin qui sortait du lot…

La semaine dernière j’ai vécu un drame que seules les consommatrices de magazines féminins comprendront : l’arrêt de MON magazine préféré ! Je l’avais découvert un peu avant l’été chez mon esthéticienne et j’avais tout de suite accroché à son concept peu commun parmi la presse féminine ainsi qu’à ses articles pertinents. C’était un magazine féminin ET bio ! Un vrai magazine de fille, accessible à toutes même les non initiés au bio comme je le suis, qui vous faisait découvrir les dernières nouveautés cosmétiques et modes, les dernières études sur les compositions sujettes à controverses, des astuces cuisines, de jolies découvertes humaines et surtout des alternatives aux produits que l’on utilise tous les jours, sans jamais vous faire la morale. Il vous proposait et vous informait en vous laissant toujours le libre choix, avec un vrai regard neutre comme devrait toujours l’avoir un journaliste. Lorsque je m’y plongeais je n’avais pas l’impression de lire des articles écrits exclusivement pour surfer sur la vague du « green », mais réellement des astuces et des découvertes originales qui enrichissaient mon quotidien. C’était le bimensuel en papier recyclé (mais pas cheap) BIOMOOD. Son leitmotiv ? « Le nouveau féminin éco-pratique pour réinventer son quotidien. Ni tarte, ni bobo mais avec conscience. » Et la semaine dernière j’ai appris qu’il avait été suspendu après seulement un an d’existence et cinq numéros parus…

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Lu sur la page Facebook de Biomood :

« C’est avec beaucoup d’émotion et une immense gratitude pour votre soutien , que nous vous annonçons que le N° 6 de BIOMOOD ne paraîtra finalement pas… L’aventure d’un journal féminin différent , que nous vous avons proposée, marque une pause. Le temps pour l’éditeur Mascotte Médias de repenser son concept  et de renforcer sa structure. Malgrè la crise générale que connaît la presse, Biomood est un concept qui correspond aux attentes de l’époque. Avec ses 1800 abonnés et ses 20 000 exemplaires vendus en moyenne , Biomood a trouvé une petite place. Mais pour que cette aventure soit viable, pour la rédaction et les équipes – toutes bénévoles- nous devons totalement repenser notre structure ! Nous travaillons dès à présent à une nouvelle formule à paraître en 2014, avec une périodicité mensuelle et en bi-média. Tous les abonnés recevront dans les semaines qui viennent une proposition.   La petite équipe de Biomood, vous remercie  de votre confiance et de votre engagement.

A très vite…

Corinne ALLAVENA, Bernard-Xavier PUVINEL, Pascal LARCHE Co-fondateurs de BIOMOOD »

Il reste donc peut-être un peu d’espoir…

Je ne fais pas partie de ces femmes et de ces hommes qui ont pris le parti du tout bio. Bien que je les admire pour vouloir prendre soin de leur santé et de celle de la planète, j’avoue volontiers me préoccuper d’abord du résultat avant la composition de mes cosmétiques. Cependant je cherche tout de même à ne pas tomber trop profond dans les cuves de la pétrochimie et je me satisfais de trouver un maximum de soins qui m’apportent le meilleur à la fois du naturel et de la chimie. Un savant paradoxe que ce mélange, je le sais bien… je continue par exemple d’utiliser des shampoings avec quats (équivalent des silicones), n’ayant pas trouvé chaussure à mon pied dans le tout-bio-tout-clean et des anti-transpirants bourrés d’aluminium car je ne trouve rien d’aussi efficace. Mais avec le temps cela commence à me poser un cas de conscience… j’étais donc très heureuse d’avoir mon Biomood dans mon sac, qui savait si bien me conseiller pour mes choix à venir sans me faire culpabiliser sur mes routines actuelles. J’avais par exemple adoré l’article sur les vernis à ongles du denier numéro [Biomood #, juillet – août 2013, p. 46 à 49] qui présentait entre autre la marque Kure Bazaar pour les désireux d’investir dans des vernis avec la composition la plus « safe » possible (tout en précisant que l’idée d’un vernis bio est une hérésie). Mais qui indiquait aussi, si vous n’aviez pas l’intention d’investir mais plutôt de vous contenter de votre collection actuelle, les teintes susceptibles de contenir le plus de cochonneries (les bleus et verts) et le moins (les couleurs claires). Vraiment, j’appréciais énormément ce libre choix laissé aux lecteurs ainsi que les nombreuses alternatives proposées.

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De plus, j’avais été séduite par le choix fait pour l’offre d’abonnement en tant que cadeau de bienvenue. Ici il était particulièrement pertinent, en accord avec l’étique du magazine et surtout était vraiment susceptible d’être utilisé (contrairement à un sac en coton type « tote bag » tout moche et pas pratique)… il s’agissait d’un petit kit de quatre carrés démaquillants lavables dans leur trousse de voyage de la marque Les Tendances d’Emma. Ce qui donnait un abonnement à 25,90 euros l’année pour 6 numéros. Je trouvais que c’était une si jolie idée… mais hélas, moi qui voulais m’abonner ce mois-ci ce ne sera pas possible…

Si jamais l’équipe de Biomood passe par ici, sachez que votre magazine manque à de nombreuses femmes et que nous avons hâte de vous retrouver l’an prochain, en espérant que le fond n’ai pas changé ! En attendant je vous suivrais sur votre page Facebook où vous nous avez promis de poster les prochains articles du numéro 6 avorté. #miss you

Carnet Féminin